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À QUOI RÊVE-T-ELLE VRAIMENT ?
Être issu de la géné
Accorder mes actes à mes pensées. Je veux dessiner moi-même
mon parcours, choisir une entreprise qui me laisse de l’autonomie, mener de front mes activités professionnelles et personnelles. Tour d’horizon d’un idéal de vie.
RESTER
LIBRE ET AUTONOME
L’autonomie est l’une des grandes aspirations de cette jeune génération face à l’emploi. Près des trois quarts d’entre eux souhaitent définir eux-mêmes leurs
méthodes et temps de travail. Et bien qu’ils attendent encore que l’entreprise propose un lieu physique où se retrouver, ils croient aux alternatives de type co-working, flex office ou télétravail et comprendraient difficilement que l’on contraigne leur nomadisme.
Dès lors que leur autonomie est respectée, 80 % (1) se disent prêts à beaucoup travailler. Leur hiérarchie ne devrait d’ailleurs pas trop s’inquiéter : 83 % d’entre eux estiment avoir les compétences nécessaires pour répondre aux exigences du monde du travail.
PARTICIPER
AUX CHOIX STRATÉGIQUES
Ces 15-24 ans comptent bien être partie prenante des décisions stratégiques de leur entreprise (42 % contre 35 % pour la généra- tion Y), dont ils attendent la plus grande transparence sur ses activités et son impact sociétal réel. Ils sont 92 % à vouloir idéalement intégrer une entreprise en accord avec leurs
valeurs( 2).
Ils ne sont pas dupes pour autant et comprennent que les entreprises poursuivent d’abord leurs propres intérêts (83 % le pensent), mais considèrent aussi qu’elles sont les mieux placées pour régler les problèmes du monde.
Parmi leurs combats vers un avenir meilleur, trois se distinguent : lutte contre le changement climatique, réparti- tion des richesses et protection des donnés personnelles.
Sur ce dernier point, ils ont conscience que si les réseaux sociaux génèrent eux-mêmes des problèmes (50 %), ils sont aussi un terrain propice pour les résoudre (50 %).
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DOSSIER